FAQ

Les questions les plus fréquentes

VOLTALIA s’engage à assurer l’ensemble des opérations pour la remise en état du site en fin d’exploitation ainsi qu’à gérer la collecte de l’intégralité des équipements pour le recyclage. Tous les équipements seront démantelés et traités par les filières adaptées : les structures en métal et les câbles en cuivre seront recyclés, ainsi que les panneaux. Le site sera remis en état sans perturbation des différents horizons présents dans les sols.

Les panneaux sont recyclés par l’Association SOREN (anciennement PVCYCLE) à laquelle adhèrent tous les grands fabricants de modules. Le recyclage des panneaux est financé dès leur achat par la taxe sur les équipements électroniques. Aujourd’hui, l’usine de recyclage de SOREN est située à Rousset et plusieurs nouvelles usines sont en cours de développement pour assurer le recyclage du nombre de panneaux croissant avec l’arrivée d’installations en fin de vie.

Un panneau solaire photovoltaïque se recycle à plus de 95%, ses composants étant pour la plupart déjà traités classiquement par les filières de recyclage (verre, plastique, aluminium). Les cellules photovoltaïques, composants essentiels des panneaux, ne présentent qu’une infime part du poids du panneau. Elles sont réutilisables jusqu’à quatre fois en remplaçant les connecteurs métalliques (recyclables). Etant composées de silicium (composant du verre et du sable), elles sont totalement recyclables. Les panneaux solaires composés de silicium (monocristallin ou polycristallin) ne contiennent pas de terres rares.

Les panneaux solaires sont garantis par les fabricants pendant 25 ans. Leur production diminue faiblement, de l’ordre de 0,5% par an, en raison du phénomène de dégradation. Au bout de 20 ans, les panneaux produisent toujours à 90% de leur capacité initiale.

Les panneaux solaires sont composés de matériaux inertes (métal, verre, silicium) et ne polluent pas l’environnement, même s’ils sont cassés et exposés aux intempéries. Leur collecte et leur recyclage sont prévus en fin de vie et sont assurés par l’organisme SOREN (anciennement PVCycle).

Les équipements qui peuvent générer un léger bruit sont les onduleurs et les transformateurs. Voltalia a adapté le plan de l’installation pour éloigner les postes de transformation au maximum des habitations. A une dizaine de mètres de distance, le bruit devient très faible et est caché par les autres bruits environnants.

Le projet de centrale agrisolaire de la Fumade a été co-construit avec Pierre et Rémi Lapeyre, exploitants agricoles depuis des générations sur le site. Les caractéristiques du projet ont été largement adaptées afin de permettre l’élevage de bovins allaitants sous les panneaux photovoltaïques. Ce projet apportera même différents bénéfices aux exploitants agricoles.

Pour plus d’infos : Le projet de centrale agrisolaire de La Fumade

Les enjeux paysagers sur l’ensemble du secteur ont été pris en compte. Globalement la topographie naturelle du site et la végétation qui sera préservée permettent de masquer efficacement le site depuis la grande majorité des points de vue.

Intégration paysagère du projet :

  • Depuis les vues sud, la topographie masque le projet ; le projet est légèrement situé en contrebas du relief.
  • Depuis l’Est, les casernes de Ferrals, la visibilité sera plus dégagée. Le recul des installations à plus de 150 mètres de la route, le maintien des boisements existants de premiers plans sont les éléments travaillés pour limiter la visibilité. Une haie diversifiée pourra être plantée au NO au besoin pour préserver les vues en direction de l’Est.
  • Depuis le Sud-est, hameau de Cadayrac, les vues seront filtrées depuis les habitations et la sortie du bourg. Le recul des installations de plus de 210 mètres de la première habitation et le maintien des boisements existants ont été pensés. Ces derniers jouent le rôle important de masque paysager.

Pour plus d’infos : La prise en compte des enjeux