Les études

Les études réalisées

En amont de la définition d’un projet, des expertises environnementales, agricoles et topographiques sont menées afin de déterminer la faisabilité du projet. Un réseau d’experts locaux expérimentés nous a accompagné dans la réalisation des études.

nymphalis_logo

L’expertise environnementale menée par le bureau d’étude Nymphalis permet de dresser un portrait précis de la faune, flore, des habitats naturels et des zones humides présent au sein de la zone d’étude. Les données récoltées cadrent toutes les actions du projet dans le plus grand respect de l‘environnement existant. Il accompagne le porteur de projet sur la bonne prise en compte des enjeux, l’évaluation des impacts et la proposition de mesures pour « Eviter, Réduire, Compenser » les impacts du projet.

L’étude préalable agricole est une réflexion qui vise à apprécier les effets positifs, neutres ounégatifs du projet envisagé sur l’économie agricole locale.  Son objectif, accompagner le porteur de projet sur la définition d’un projet de moindre impact. L’étude est indépendante mais intégrée au dossier de demande d’autorisation administrative et étudiée par la CDPENAF (commission départementale de la préservation des espaces naturels, agricoles et forestiers).

Une mission géomètre a été réalisée afin d’apprécier finement la topographie du terrain et d’apporter un appui technique à la définition de l’implantation. Ces données servent également à la réalisation des simulations visuelles. 

Les études en cours

Une étude Géotechnique AVant-Projet (G2AVP) a été initiée. Cette étude technique est réalisée au stade de l’avant-projet de la maîtrise d’œuvre. Elle vise à définir la nature des sols afin d’orienter le choix définitif fondations de l’ouvrage et leurs profondeurs d’encastrement.

L’étude d’impact environnementale est en cours de réalisation. Cette étude permet de rendre compte de l’ensemble des expertises et d’évaluer les impacts du projet sur son environnement. Elle définit les mesures d’évitement, de réduction et de compensation à mettre en œuvre. Elle est une des pièces obligatoires de la demande de permis de construire déposée

La concertation

Le bureau d’étude Acthuel accompagne le porteur de projet sur la phase incontournable de la concertation. L’objectif, consulter la population locale, les associations, les acteurs institutionnels du territoire, les acteurs économiques du monde agricole local. Sa mission, veiller à la prise en compte des retours de terrain dans la définition du projet de centrale agrisolaire afin qu’il réponde de façon satisfaisante à la combinaison étroite d’une activité agricole pérenne, de la considération des enjeux environnementaux, de l’acceptabilité locale et d’une production d’énergie renouvelable.

La zone d’étude

La zone d’étude possède les critères favorables à la réalisation d’un projet agrivoltaïque, à savoir :

  • Un porteur de projet agricole motivé et des perspectives de maintien de l’exploitation
  • La présence d’un élevage de bovins allaitants
  • De grandes surfaces de pâturage
  • Une faible densité de végétation et des espaces ouverts de lande
  • Une topographie favorable et peu accidentée
  • Un ensoleillement propice
  • Une possibilité de raccordement


Sur ce site, la présence de nombreux masques végétaux le long de axes routiers et le recul par rapport aux principaux centres bourgs de la commune de Salles la Source facilitent l’intégration paysagère du projet. 

La zone d’étude s’étend sur environ 120 hectares d’un seul tenant. C’est la surface sur laquelle portent l’ensemble des études environnementales et agricoles et techniques afin de définir un projet cohérent.

Le raccordement

La production électrique de la centrale agrisolaire de La Fumade permet d’augmenter le pourcentage d’électricité verte au sein du réseau électrique français.

Selon une première étude, elle serait raccordée au poste source d’Onet-le-Château situé à environ 14km au sud-est du projet. Le raccordement jusqu’au poste source emprunte les bords de chemins, de routes secondaires ou principales.

L’évacuation de la production électrique serait réalisée grâce à la présence de 3 postes de livraison sur le site. Il s’agit de bâtiment, type préfabriqué d’environ 30m². Pour une meilleure intégration paysagère, ils seront localisés dans la mesure du possible derrière des masques végétaux existants. Ils peuvent être également recouverts par des différents matériaux (bois, pierre) ou peinture (blanc, vert) selon l’écrin paysager dans lequel ils évolueront.

Délai du raccordement du projet – 18 à 24 mois.

Coût environ 7 millions d’euros à la charge de l’exploitant du parc.